Après sa boutique à succès du haut Marais ouverte en 2009, le concept store Merci ouvre un second espace de vente, dans un ancien bureau de poste des années 1950. Doté de deux entrées, ce magasin décloisonné cultive une esthétique à la fois industrielle et artisanale.
Fondé il y a cinq ans par Bertrand Leblanc-Barbedienne, ce site documente et promeut la notion discutée de « souveraineté technologique ». Bien qu’il se veuille transpartisan, il est régulièrement accusé de relayer un discours d’extrême droite.
Les établissements ont appliqué la mesure selon des modalités très différentes. Une grande partie n’ont pas retenu l’idée de former des groupes par niveaux scolaires prônée par Gabriel Attal quand il avait lancé la réforme. D’autres ont constitué des groupes d’élèves « faibles », ce qui soulève de multiples questions chez leurs professeurs.
Au premier jour de leur procès en appel pour « escroquerie », les ex-présidents de l’UEFA et de la FIFA ont été réinterrogés, lundi 3 mars, sur le paiement de 2 millions de francs suisses fait à Michel Platini en 2011.
L’autrice américaine Freida McFadden, arrivée en tête des ventes dans huit pays, s’impose comme un phénomène de librairies. Ses ouvrages disponibles en France se sont déjà écoulés à 1,9 million d’exemplaires.
Les deux parties ont convenu de conclure un accord de libre-échange « d’ici à la fin de l’année ». L’Union européenne veut profiter d’un marché indien en pleine expansion dans un contexte de volatilité extrême créé par l’administration américaine.
Le pasteur et médecin alsacien, Prix Nobel de la paix en 1952, fut un précurseur de multiples combats contemporains, de l’action humanitaire au désarmement nucléaire, en passant par l’antidogmatisme religieux. L’historien livre un portrait nuancé – et humain – de cette figure historique.
L’économiste et financier Stephen Miran, chef désigné du conseil d’analyse économique de la Maison Blanche, prône une approche laissant craindre des manipulations monétaires : forcer les détenteurs étrangers de dollars à investir en bons du Trésor américain pour financer l’économie des Etats-Unis.
Viser un objectif de rendement tout en se protégeant d’une chute brutale des marchés, telle est la promesse de ces produits financiers, mais la performance n’est pas garantie.
Syndicats et patronat ouvrent jeudi, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Une « initiative malheureuse », selon le président du Medef, qui considère, dans un entretien au « Monde », que les Français « s’étaient résignés à la réforme ». Et ne souhaite pas revenir sur l’âge de départ à 64 ans.